Day 4
Aujourd’hui, programme éclectique si il en fut, je vous en laisse seul juges.
Apès un réveil d’une nuit un brin trop courte à mon gout (mais bon, on est au Japon pour visiter un max non ?), j’ai pris mon backpack et je suis parti en solo, direction Tokyo Tower, l’éminent émetteur d’onde qui ressemble à s’y méprendre à une tour Eiffel rouge.
Pour s’y rendre, rien de plus simple, un coup de métro, un changement et 10 minutes de marche à pied suffisent puisque notre hôtel est situé a côté d’une station.
En arrivant sur le quai, j’ai erré un peu et la, un détail m’a surpris :
TOUT LE MONDE BOIT UNE BOISSON ÉNERGÉTIQUE LE MATIN ! ILS-SONT-TARÉS ! ET ÇA MÊME QUAND IL Y A UN POINT D’EAU GRATUIT JUSTE EN FACE DES DISTRIBUTEURS !
Tu m’étonnes que le peuple japonais carbure à 400%, ils sont doppés !
Bref, après quelques minutes, le train arrive, passe par là…
…et me voilà arrivé a destination.
Après avoir marché quelques pas la tête en l’air (pour essayer de voir la tour, hein…), puis suivi les indications du plan du quartier, j’entame mon chemin.
On se laissera charmer par les petits temples adjacents
et les buildings qui vont toujours plus haut. (il parait qu’il est connu celui-la ?)
Je crois aussi que j’ai eu le fin mot de l’histoire sur la chrétienté (ça se passe en dedans !)
et je me suis rendu compte que y’a des franc-maçons partout…
Ne lâchant pas la tour des yeux,
je me mets à son pied nord et vous ramen (haha) ce beau cliché !
Comme j’ai callé ça en mode « go fast », je suis donc retourné sur mes pas, mais j’ai fait un petit détour pour visiter ce qui fût un des sites archéologiques de Tokyo.
Ça se situe sur Sakurada Dori, en haut de cet escalier
et une fois en haut, on est tout de suite pris de respect pour l’endroit. Voici mon témoignage photographique.
Si toi aussi, tu crois avoir reconnu Mushu, tappes sur la touche # de ton téléphone.
Je reste assis sur un banc pendant une petite dizaine de minutes (ce qui me permet de me reposer car pour un go fast, ça a quand même duré pas loin de 2h l’affaire au total, et j’ai besoin de récupérer) en écoutant le chant des oiseaux locaux (que jamais tu saura quel bruit ça fait si tu viens pas dans ce lieu à cette saison) ce qui me permet de me reconnecter avec ma zenittude que j’ai laissé quelque part sur le siège arrière de mon cerveau. (Le Japon peut rendre fou, à consommer avec modération.)
Bref, c’était bien beau, mais il est l’heure de manger donc, retour à la casba pour récuperer Cédric.
Le programme de l’après-midi : SHI-BU-YA ! (ALIGATOOOOOO !)
En sortant du métro à la station préprogrammée, on se rends compte que le Japon est un pays à part pour ce qui est du cinéma. Aussi, ici on ne regarde pas le Hobbit avec un Bilbo Baggins, mais
avec un cousin de Chow Yun-Fat.
Trêve de plaisanterie, le Japon te rappelleras toujours que c’est le pays du poutrage technologique
et que sans lui, bah tu jouerais encore avec tes silex.
Et donc, voici SHIBUYA !
Nous avons décidé de passer à 109 tower, le temple de la mode.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il y a deux tours, une pour les femmes, une pour les hommes.
En bon gentlemens que nous sommes, nous laissons l’honneur aux femmes, et montons chaque étage pour nous rendre compte que les japonaises peuvent s’habiller du plus trash au plus classieux, mais en général, ça reste assez bling-bling-kawaii-coloré-fluo, sauf quand les prix montent ou la on touche du bout du doigt la haute couture.
Je vous résume tout ça…
A savoir que, la boutique Hello Kitty nous invite a mixer, ce que nous essayons de faire, mais avec des cds a tempos et styles déparaillés, on a plutôt frisé la cacophonie que le mix façon Matthew Dear. (va chercher bonheur)
On peu aussi faire customiser tout ce qui est dur avec des strass, j’hésite encore a amener mon macbook…..
Une fois les étages redescendus, nous passons coté homme.
Alors, si jamais vous ne saviez pas, les japonais sont en moyenne plus petits et moins corpulents que les occidentaux, et en particulier ma pomme.
On fait un tour, gravissons quelques étages et trouvons quelques fringues sympa qui mériteraient un essai. Sauf que, les tailles ici ne dépassent pas le L. Pour rappel, je m’habille entre le XXL et le 3XL à l’heure ou j’écris ces lignes (on sais jamais, ça pourrais changer dans le futur…)
Dommage ! Surtout que ça serait bien allé avec ce petit porte monnaie doré
dans ce magnifique sac à main rouge
Nous quittons les lieux sans prendre la peine de monter jusqu’en haut, inutile de pousser le vice trop loin (#GAYGAYGAY), pour ma part, je continuerais à faire mes tshirt et à porter des jeans avec ma veste de costard et mes skateshoes (ce qui pourrais aussi changer dans le futur, mais ce dresscode me correspond pour le moment…)
Au nord (c’était les corooooons !), nous passons dans un petit parc surélevé (dont voici l’accès) [Remi…..]
ou les gens s’entrainent a danser ou à maitriser l’art du jonglage de bouteilles (ami barman, va faire un stage chez eux, tu vas kiffer !)
puis, il est l’heure du combo bière Orion feat. Awamori dans ta face ! (cherchez pas, y’en à pas ailleurs qu’a Okinawa)
Pour ça, direction Nakano avec un coup de JR line, et le tour est joué. Ca ressemble à ça de jour…
…et ça de nuit.
De là, nous prenons à droite : « rue de la soif ».
les prix sont toujours aussi bas, bien loin de ceux des attrape-touristes…
Regardez mieux, 370 yen !! C’est pas cher !!
En plus, y’a des célébrités qui viennent !
Et puis, y’a de quoi s’amuser toute la nuit !
Au bout, nous faisons un corchet (du gauche) pour aller vérifier que les bâtiments en ruine tiennent toujours, et c’est le cas !
Au fait, quand je vous dis que Nakano, c’est ZE place to be, c’est parce qu’en fait…
C’EST LE POINT G DU JAPON !
Alors, convaincus ?!
Bon alors, on passe à la suite.
Voilà la devanture de notre lieux de perdition.
Naoki (le barman) nous acceuille toujours aussi chaleureusement, et nous fait gouter comme à son habitude les petites productions japonaises qui valent le détour.
Après avoir étanché notre soif de culture (et d’alcool – on fait quand même attention car ça peut vite dégénérer cette histoire) nous prenons un cliché avec notre hôte si sympathique à qui nous referons probablement visite…
…et allons manger.
C’est tout pour aujourd’hui…
Ha non, en chemin, j’ai croisé ça…
…et je me demande si ça a un rapport avec Toy Story !

















































