Day 1 & 2
…and 3 & 4, and 1 & 2 & 3 & 4….. (#REF)
Ok. Alors…. par où on commence…?
Déjà, dès l’arrivée, ça, ça fait plaisir, t’as le smile aux lèvres et ça te lâche pas avant un bon quart d’heure.
Ensuite, après être sorti de l’aéroport, que tu as pris la N’EX line (Narita Express -> Tokyo Shinjuku qui mets 59 minutes et dont une vidéo extrait est visible ici), tu arrives a Shinjuku pour te rentre compte que eux aussi, ils ont leur Maïté nationale !
De là, tu demandes ton chemin pour arriver à ton Hotel, tu poses tes affaires, tu vas faire un premier repérage a Akibahara parce que ben oui, c’est tout de même con de perdre une demie journée semi-jetlaggé enfermé dans ta chambre. Après ça, t’as faim, normal, c’est 19h, donc tu reviens en terrain proche de l’hôtel pour manger ton premier mild curry (et bordel, qu’est-ce que c’est bon cte saloperie, je vais en commander un tanker direct !) puis tu vas te reposer.
Et là, tu attaques le deuxième jour.
Au menu : Akibahara – le retour et Nakano (New Akihabara), oui, parce que quand tu fais 11000kms, ben t’as déjà prouvé que t’es motivé dans ta geekitude, et que tu comptes pas la soigner en plus !
On a assez bien segmenté la chose, donc le matin, le repas et le début d’aprem, ça c’est fait à Akiba, ce qui nous a laissé le temps de nous perdre après, et je reviendrais sur ce bout de phrase…
Donc, commençons bien : Akiba, c’est Montgallet couplé du boulevard Voltaire sur la taille d’a peu près un bon quart de Paris. (si vous ne connaissez pas Montgallet et Voltaire, en gros, tant pis pour vous 😀 )
De l’extérieur, ça ressemble à ça.
Et de l’intérieur……je vais laisser parler quelques photos…
…donc en fait, tu trouves de tout. Du geek, du nerd, du kawaii (même un savant mélange de tout ça car cet arduino Sakura juste…………..à la fois WTF et trop excellent, un bon moyen de mettre votre copine [hein, hein !] à l’électronique), du traditionnel, du manga/anime/movie/advert based object, bref, à moins d’avoir une culture a zéro, tu vas OBLIGATOIREMENT trouver au moins un objet que tu connais, ou tiré d’une license qui te parle.
Voila pour Akiba coté geek, maintenant : l’évènement spécial « t’as trop de la chance mec, t’était là au bon moment » : le Kanda Matsuri (ou festival Kanda)
En essayant de se déplacer par des voies peu empruntés par les touristes de tous poils, on est tombé dans une petite rue avec une tente contenant ceci :
Des locaux nous ont expliqué que c’est un temple portatif. Jusque là, rien de bien anormal me direz vous, certes.
Maintenant, on prends ce petit temple, on le fait soulever par 40 personnes (parce que ça pèse lourd apparemment…), on associe une foule dédié et ça donne ça :
Bon, maintenant on prends ce package, et on le multiplie par environ 100, et ça nous donne Akibahara bloqué a la circulation des voitures, noir de monde et avec environ 95% de locaux (ce qui est assez rare pour le quartier en temps normal) :
Après avoir pris un petit bain de foule, on a décidé que l’heure de manger tombait a pic : CURRY TIME !
Cette saloperie est VRAIMENT TROP BONNE ! Grog seal of approval, mention jury unanime.
Bref, après avoir fini TOUT mes grains de riz en sauce, nous allâmes voir notre ami Dino, heu…Nakano (#REF – toi même tu sais) suite aux conseil d’une rencontre de passage lors de notre visite a Akiba, à savoir Ed, du service encodage vidéo de chez Amazon, ainsi que d’une discussion rapide avec Nath qui n’a pas eu les bollock’s de trainer son cul jusque là-bas. (oui, parfaitement monsieur !)
Alors, Tokyo, c’est grand. Tu vois un truc grand ? Bon ben, plus grand encore.
Ca peut se faire a pied, mais contrairement à Paris, tu mets pas 2h pour le faire de bord a bord.
Du coup, quand tu te loupes d’une station de RER, et ben tu marche…..assez longtemps.
C’est assez cool, car comme j’aime à le dire souvent : je ne suis pas paumé, je découvre.
Ainsi, en chemin, tu peux voir des bizarreries architecturales reprenant une célèbre chanson de Led Zepplin…
des temples…
Mr Takagi en agent immobilier
et ce que je penses être une reproduction assez fidélo-contemporaine de l’immeuble de Ryo Saeba (Nicky Larson pour les néophytes)
Après une visite de Nakano Broadway « Otaku Heaven », j’ai décidé de suivre mon flair et de passer encore une fois dans les petites rues Tokyoites qui fleurent bon l’authenticité comme j’aime.
Au détour d’un petit croisement, nous sommes tombés sur des ruines de maisons, cassées pour laisser pousser un nouveau building où nous avons rencontré un salary-man passionné de photographie qui nous a utilisé comme figurants. J’en ai profité pour looter un petit item dont la fonction nous est encore inconnue :
moi je penses que c’est soit un casse tête soit un traineau (#REF), mais si quelqu’un à une bonne suggestion quand à la vraie nature de cet objet, merci de me le faire savoir !
Chemin faisant, je suivâme mon flair à nouveau et là, nous sommes tombés sur ZE petit bar a saké que même-pas-un-vrai-japonais-il-test. C’est apparemment renommé dans le quartier, ce qui flatte l’ego de mon flair, et je dois dire que : le saké au japon, c’est bon (tout comme les passages a niveau, c’est beau ! [suis un peu ce qu’on te dis !] )
Par mesure de sécurité envers nos vies privées, aucune photo n’a été prise de nous a partir de ce point.
En tout état de cause, le bar tender est juste un amour, les gens qui nous ont rejoins (oui, car, dans les bars aux japon, quand tu fais l’ouverture, on te rejoins) étaient plus qu’admirablement serviables ainsi que de forts bon compagnons de mini-murge. Entre deux traductions de phrase a sens profondémment philosophique qui auraient certainement plue à Bashō, j’ai remarqué une jolie SL-1200MK5, les mêmes platines qu’à la maison ! Et ho, une collection de disques avec des pièces ultra-rares a côté ! Et ho…
Ça alors, un disque pas conventionnel ! Quand je vous assure que ce barman est une perle, ça se lis en lui, et à travers la musique qu’il écoute !
Bref, un bon verre de saké et une bière plus loin, nous sortons, la banane sur le visage dans cette rue que je qualifierais de…..pittoresquement authentique (!) que nous avions quitté de jour.
C’est à peu près tout pour aujourd’hui, mais parce que vous m’êtes sympathiques même si j’ai des principes (#REF), je vous montre là ou l’on habite :
En bonus, la chambre avec l’ami Cedric qui dors ! (t’avais qu’a pas dormir la veille gros malin !)
Bon, y’en a un peu plus, je vous la mets quand même ?
Ami observateur, toi aussi tu rigoleras !
Allez, demain : SHIBUYA DESU !!

















































