Premier article conséquent de moi depuis notre arrivé.
Je profite de notre réveil ultra matinale (on aurait pas fait 4h du matin en France hein…), pour vous montrer deux trois clichés et vous parler un peu de tout ça.
Previously, on « voyage au japon »
La veille du départ, on s’est demandé comment pallier au décalage, chacun y est allé de sa propre méthode, les débats on fait rage comme à notre habitude, et après déliberation basée sur un tas de calculs scientifiques compliqués… j’ai opté pour la méthode de Taïfu (ne cherchez pas sur google c’est le surnom de Tiphaine) :
LA NUIT BLANCHE
Ok, on en est pas à notre première, on sait plus ou moins comment ça marche… il suffit à priori de bien s’équiper :

Un bain chaud et des miel pops plus tard, on se met en route pour prendre l’avion, et pas n’importe lequel mesdames messieurs, le phat A380.

C’est confort, ça tourne à 900Km/h en moyenne et les stewarts et hôtesses multiplient les passages avec toujours plus de nourritures ou de services à proposer.

Moment détente avant l’embarcation.
L’équipement vaut le détour également : à l’arrière de chaque siège (soit en face de nos têtes) un écran avec une interface tactile pour jouer / visionner des films (la videolist est plutôt sympa on y a retrouvé l’excellent Argo entre autre).


Niveau repas on a eu le droit à un gros déjeuner et un petit déjeuner, entre lesquels des glaces, café et/ou thé nous on été proposé.

Et si vous voulez l’avis d’Olivier sur la nourriture :

Le vol s’est plutôt bien déroulé si on exclu l’atterrissage qui m’a fait perdre 20 pts d’acuité auditive…

Non ce n’est pas mr Takagi bien qu’on aurait pu y croire..
On a entamé la recherche de mr Takagi (référence à Mozinor pour les incultes)
Pour l’heure on doit aller au Mcdo se taper un mcMorning vue qu’il ne semble y avoir que ça d’ouvert à proximité (dans un rayon de 200 m).
TO BE CONTINUED…
Le 11 mai 2013 à 21:57
…and 3 & 4, and 1 & 2 & 3 & 4….. (#REF)
Ok. Alors…. par où on commence…?
Déjà, dès l’arrivée, ça, ça fait plaisir, t’as le smile aux lèvres et ça te lâche pas avant un bon quart d’heure.

Ensuite, après être sorti de l’aéroport, que tu as pris la N’EX line (Narita Express -> Tokyo Shinjuku qui mets 59 minutes et dont une vidéo extrait est visible ici), tu arrives a Shinjuku pour te rentre compte que eux aussi, ils ont leur Maïté nationale !

De là, tu demandes ton chemin pour arriver à ton Hotel, tu poses tes affaires, tu vas faire un premier repérage a Akibahara parce que ben oui, c’est tout de même con de perdre une demie journée semi-jetlaggé enfermé dans ta chambre. Après ça, t’as faim, normal, c’est 19h, donc tu reviens en terrain proche de l’hôtel pour manger ton premier mild curry (et bordel, qu’est-ce que c’est bon cte saloperie, je vais en commander un tanker direct !) puis tu vas te reposer.
Et là, tu attaques le deuxième jour.
Au menu : Akibahara – le retour et Nakano (New Akihabara), oui, parce que quand tu fais 11000kms, ben t’as déjà prouvé que t’es motivé dans ta geekitude, et que tu comptes pas la soigner en plus !
On a assez bien segmenté la chose, donc le matin, le repas et le début d’aprem, ça c’est fait à Akiba, ce qui nous a laissé le temps de nous perdre après, et je reviendrais sur ce bout de phrase…
Donc, commençons bien : Akiba, c’est Montgallet couplé du boulevard Voltaire sur la taille d’a peu près un bon quart de Paris. (si vous ne connaissez pas Montgallet et Voltaire, en gros, tant pis pour vous 😀 )
De l’extérieur, ça ressemble à ça.

Et de l’intérieur……je vais laisser parler quelques photos…

…donc en fait, tu trouves de tout. Du geek, du nerd, du kawaii (même un savant mélange de tout ça car cet arduino Sakura juste…………..à la fois WTF et trop excellent, un bon moyen de mettre votre copine [hein, hein !] à l’électronique), du traditionnel, du manga/anime/movie/advert based object, bref, à moins d’avoir une culture a zéro, tu vas OBLIGATOIREMENT trouver au moins un objet que tu connais, ou tiré d’une license qui te parle.
Voila pour Akiba coté geek, maintenant : l’évènement spécial « t’as trop de la chance mec, t’était là au bon moment » : le Kanda Matsuri (ou festival Kanda)
En essayant de se déplacer par des voies peu empruntés par les touristes de tous poils, on est tombé dans une petite rue avec une tente contenant ceci :

Des locaux nous ont expliqué que c’est un temple portatif. Jusque là, rien de bien anormal me direz vous, certes.
Maintenant, on prends ce petit temple, on le fait soulever par 40 personnes (parce que ça pèse lourd apparemment…), on associe une foule dédié et ça donne ça :

Bon, maintenant on prends ce package, et on le multiplie par environ 100, et ça nous donne Akibahara bloqué a la circulation des voitures, noir de monde et avec environ 95% de locaux (ce qui est assez rare pour le quartier en temps normal) :

Après avoir pris un petit bain de foule, on a décidé que l’heure de manger tombait a pic : CURRY TIME !

Cette saloperie est VRAIMENT TROP BONNE ! Grog seal of approval, mention jury unanime.
Bref, après avoir fini TOUT mes grains de riz en sauce, nous allâmes voir notre ami Dino, heu…Nakano (#REF – toi même tu sais) suite aux conseil d’une rencontre de passage lors de notre visite a Akiba, à savoir Ed, du service encodage vidéo de chez Amazon, ainsi que d’une discussion rapide avec Nath qui n’a pas eu les bollock’s de trainer son cul jusque là-bas. (oui, parfaitement monsieur !)
Alors, Tokyo, c’est grand. Tu vois un truc grand ? Bon ben, plus grand encore.
Ca peut se faire a pied, mais contrairement à Paris, tu mets pas 2h pour le faire de bord a bord.
Du coup, quand tu te loupes d’une station de RER, et ben tu marche…..assez longtemps.
C’est assez cool, car comme j’aime à le dire souvent : je ne suis pas paumé, je découvre.
Ainsi, en chemin, tu peux voir des bizarreries architecturales reprenant une célèbre chanson de Led Zepplin…

des temples…

Mr Takagi en agent immobilier

et ce que je penses être une reproduction assez fidélo-contemporaine de l’immeuble de Ryo Saeba (Nicky Larson pour les néophytes)

Après une visite de Nakano Broadway « Otaku Heaven », j’ai décidé de suivre mon flair et de passer encore une fois dans les petites rues Tokyoites qui fleurent bon l’authenticité comme j’aime.
Au détour d’un petit croisement, nous sommes tombés sur des ruines de maisons, cassées pour laisser pousser un nouveau building où nous avons rencontré un salary-man passionné de photographie qui nous a utilisé comme figurants. J’en ai profité pour looter un petit item dont la fonction nous est encore inconnue :

moi je penses que c’est soit un casse tête soit un traineau (#REF), mais si quelqu’un à une bonne suggestion quand à la vraie nature de cet objet, merci de me le faire savoir !
Chemin faisant, je suivâme mon flair à nouveau et là, nous sommes tombés sur ZE petit bar a saké que même-pas-un-vrai-japonais-il-test. C’est apparemment renommé dans le quartier, ce qui flatte l’ego de mon flair, et je dois dire que : le saké au japon, c’est bon (tout comme les passages a niveau, c’est beau ! [suis un peu ce qu’on te dis !] )


Par mesure de sécurité envers nos vies privées, aucune photo n’a été prise de nous a partir de ce point.
En tout état de cause, le bar tender est juste un amour, les gens qui nous ont rejoins (oui, car, dans les bars aux japon, quand tu fais l’ouverture, on te rejoins) étaient plus qu’admirablement serviables ainsi que de forts bon compagnons de mini-murge. Entre deux traductions de phrase a sens profondémment philosophique qui auraient certainement plue à Bashō, j’ai remarqué une jolie SL-1200MK5, les mêmes platines qu’à la maison ! Et ho, une collection de disques avec des pièces ultra-rares a côté ! Et ho…

Ça alors, un disque pas conventionnel ! Quand je vous assure que ce barman est une perle, ça se lis en lui, et à travers la musique qu’il écoute !
Bref, un bon verre de saké et une bière plus loin, nous sortons, la banane sur le visage dans cette rue que je qualifierais de…..pittoresquement authentique (!) que nous avions quitté de jour.

C’est à peu près tout pour aujourd’hui, mais parce que vous m’êtes sympathiques même si j’ai des principes (#REF), je vous montre là ou l’on habite :

En bonus, la chambre avec l’ami Cedric qui dors ! (t’avais qu’a pas dormir la veille gros malin !)

Bon, y’en a un peu plus, je vous la mets quand même ?

Ami observateur, toi aussi tu rigoleras !


Allez, demain : SHIBUYA DESU !!
Le 12 mai 2013 à 16:54
« Sumimasen, eigo ga dekimasu ka ? » ou comment dire « excuses moi gros, tu peux passer en version anglaise ? » est devenue ma phrase N°1 au hit parade, et sans elle, j’aurais pas trouvé de cash aujourdhui, donc dressons un hôtel a cette maxime.


Tu trouves pas que y’a une forte connotation phallique…?
Bref, si je vous raconte cette histoire de cash, c’est parce qu’au japon, ben ta master card, elle passe pas partout, et que y’a un seuil quotidien (#joueur_du_grenier : Ha ben ça aussi, quand tu connais pas, c’est la bonne surprise !) du coup, obligé de demander un post office qui lui accepte ta carte pour retirer tes précieux bouts de papiers.
Apès avoir retiré, on a profité du petit NewYorker’s Cafe qui se trouvais non loin de là, et je crois que j’ai eu un message subliminal dans ma tasse….

Donc, le trip d’aujourd’hui nous à fait passer par la case Shibuya Central vers Roppongi pour visiter le secteur car c’est lundi, et le lundi, c’est raviolis, donc tout n’es pas ouvert, aussi, je craignais que Shibuya ne soit pas 100% accueillant. (CF notre gentil barman d’hier soir, a qui nous allons rendre à nouveaux visite demain soir, pasque franchement, paye ton kiff)

(Au passage, on dit bonjour à Yogi, l’ours de notre enfance. Big Up !) (je crois que ça fera rire que moi, mais peu t’importe !)


On y rencontre des échoppes sympa comme ce fast food qui je l’espère est inspiré par Moss, ou encore ce magasin qui semble faire l’apologie du Marquis de Sade…

En prenant les ruelles inanimées du quartier on peu aussi trouver ça….


…je ne ferais aucun commentaire.
Après ces émotions, je vous propose de reprendre des forces…

… de contempler la Tokyo Tower…

…de vous rendre compte de l’avancement des travaux japonais du dernier arceau de la machine inter-dimentionnelle en cours de réalisation suite au film Contact…

(oui je sais que c’est une attraction, mais mes respects tout de même au peuple japonais pour avoir osé coller ça en haut d’un building !)
…de vous cultiver un peu…

…de gratter un accord…

…de réfléchir aux problèmes d’énergie… (ami philatéliste, sors ta loupe…)

…et à certaines de leurs conséquences.

On se rends compte aussi que le Japon a une forte culture vidéo-ludique, même dans la vie de tout les jours, comme en témoignent ces enseignes :

Après un bon repas dans une ambiance traditionnello-courtoise (j’ai jamais mangé un poulet avec cette saveur mi-sucrée de ma vie… à refaire !) nous nous rendimes donc à l’hôtel mais toujours à pieds.

Bref, comme nous sommes de bon touristes, nous ne suivons aucun plan établi et qu’au grès de nos pas, nous tombâmes quand même à Shibuya, et comme annoncé, tout n’était pas ouvert (je te retiens petit magasin de lomographie….je te retiens….)
Ok, ça à pas l’air super intéressant comme ça, mais on a vu plein de choses sympa, on c’est même fait une petite rue piétonne/marchande au nord de Shibuya (à Harajuku très précisément) qui sors juste de l’ordinaire (CF ACDC Gothic Store plus bas).

Non mais attends, t’est prêtre japonais et t’as des voitures de luxe, non mais allo quoi !

ACDC en gothique……LOL ! (Remi, j’ai pensé à toi en voyant ces fringues)

Cécile….toi même tu sais.

Oui parce que au japon, tu peux être un dinosaure mais aussi avoir besoin d’un dentiste !

Et , je le répète, les passages a niveau, c’est beau.
Donc voilà, c’était une bonne demie journée, mais demain, ca repars donc Stay Tuned !

Allez, je vous mets les restes…

Le 13 mai 2013 à 10:58
Aujourd’hui, programme éclectique si il en fut, je vous en laisse seul juges.
Apès un réveil d’une nuit un brin trop courte à mon gout (mais bon, on est au Japon pour visiter un max non ?), j’ai pris mon backpack et je suis parti en solo, direction Tokyo Tower, l’éminent émetteur d’onde qui ressemble à s’y méprendre à une tour Eiffel rouge.
Pour s’y rendre, rien de plus simple, un coup de métro, un changement et 10 minutes de marche à pied suffisent puisque notre hôtel est situé a côté d’une station.
En arrivant sur le quai, j’ai erré un peu et la, un détail m’a surpris :

TOUT LE MONDE BOIT UNE BOISSON ÉNERGÉTIQUE LE MATIN ! ILS-SONT-TARÉS ! ET ÇA MÊME QUAND IL Y A UN POINT D’EAU GRATUIT JUSTE EN FACE DES DISTRIBUTEURS !

Tu m’étonnes que le peuple japonais carbure à 400%, ils sont doppés !
Bref, après quelques minutes, le train arrive, passe par là…

…et me voilà arrivé a destination.
Après avoir marché quelques pas la tête en l’air (pour essayer de voir la tour, hein…), puis suivi les indications du plan du quartier, j’entame mon chemin.
On se laissera charmer par les petits temples adjacents

et les buildings qui vont toujours plus haut. (il parait qu’il est connu celui-la ?)

Je crois aussi que j’ai eu le fin mot de l’histoire sur la chrétienté (ça se passe en dedans !)

et je me suis rendu compte que y’a des franc-maçons partout…

Ne lâchant pas la tour des yeux,

je me mets à son pied nord et vous ramen (haha) ce beau cliché !

Comme j’ai callé ça en mode « go fast », je suis donc retourné sur mes pas, mais j’ai fait un petit détour pour visiter ce qui fût un des sites archéologiques de Tokyo.

Ça se situe sur Sakurada Dori, en haut de cet escalier

et une fois en haut, on est tout de suite pris de respect pour l’endroit. Voici mon témoignage photographique.

Si toi aussi, tu crois avoir reconnu Mushu, tappes sur la touche # de ton téléphone.
Je reste assis sur un banc pendant une petite dizaine de minutes (ce qui me permet de me reposer car pour un go fast, ça a quand même duré pas loin de 2h l’affaire au total, et j’ai besoin de récupérer) en écoutant le chant des oiseaux locaux (que jamais tu saura quel bruit ça fait si tu viens pas dans ce lieu à cette saison) ce qui me permet de me reconnecter avec ma zenittude que j’ai laissé quelque part sur le siège arrière de mon cerveau. (Le Japon peut rendre fou, à consommer avec modération.)
Bref, c’était bien beau, mais il est l’heure de manger donc, retour à la casba pour récuperer Cédric.
Le programme de l’après-midi : SHI-BU-YA ! (ALIGATOOOOOO !)
En sortant du métro à la station préprogrammée, on se rends compte que le Japon est un pays à part pour ce qui est du cinéma. Aussi, ici on ne regarde pas le Hobbit avec un Bilbo Baggins, mais

avec un cousin de Chow Yun-Fat.
Trêve de plaisanterie, le Japon te rappelleras toujours que c’est le pays du poutrage technologique

et que sans lui, bah tu jouerais encore avec tes silex.
Et donc, voici SHIBUYA !

Nous avons décidé de passer à 109 tower, le temple de la mode.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il y a deux tours, une pour les femmes, une pour les hommes.
En bon gentlemens que nous sommes, nous laissons l’honneur aux femmes, et montons chaque étage pour nous rendre compte que les japonaises peuvent s’habiller du plus trash au plus classieux, mais en général, ça reste assez bling-bling-kawaii-coloré-fluo, sauf quand les prix montent ou la on touche du bout du doigt la haute couture.
Je vous résume tout ça…

A savoir que, la boutique Hello Kitty nous invite a mixer, ce que nous essayons de faire, mais avec des cds a tempos et styles déparaillés, on a plutôt frisé la cacophonie que le mix façon Matthew Dear. (va chercher bonheur)

On peu aussi faire customiser tout ce qui est dur avec des strass, j’hésite encore a amener mon macbook…..

Une fois les étages redescendus, nous passons coté homme.
Alors, si jamais vous ne saviez pas, les japonais sont en moyenne plus petits et moins corpulents que les occidentaux, et en particulier ma pomme.
On fait un tour, gravissons quelques étages et trouvons quelques fringues sympa qui mériteraient un essai. Sauf que, les tailles ici ne dépassent pas le L. Pour rappel, je m’habille entre le XXL et le 3XL à l’heure ou j’écris ces lignes (on sais jamais, ça pourrais changer dans le futur…)
Dommage ! Surtout que ça serait bien allé avec ce petit porte monnaie doré

dans ce magnifique sac à main rouge

Nous quittons les lieux sans prendre la peine de monter jusqu’en haut, inutile de pousser le vice trop loin (#GAYGAYGAY), pour ma part, je continuerais à faire mes tshirt et à porter des jeans avec ma veste de costard et mes skateshoes (ce qui pourrais aussi changer dans le futur, mais ce dresscode me correspond pour le moment…)
Au nord (c’était les corooooons !), nous passons dans un petit parc surélevé (dont voici l’accès) [Remi…..]

ou les gens s’entrainent a danser ou à maitriser l’art du jonglage de bouteilles (ami barman, va faire un stage chez eux, tu vas kiffer !)

puis, il est l’heure du combo bière Orion feat. Awamori dans ta face ! (cherchez pas, y’en à pas ailleurs qu’a Okinawa)
Pour ça, direction Nakano avec un coup de JR line, et le tour est joué. Ca ressemble à ça de jour…

…et ça de nuit.

De là, nous prenons à droite : « rue de la soif ».

les prix sont toujours aussi bas, bien loin de ceux des attrape-touristes…

Regardez mieux, 370 yen !! C’est pas cher !!
En plus, y’a des célébrités qui viennent !

Et puis, y’a de quoi s’amuser toute la nuit !

Au bout, nous faisons un corchet (du gauche) pour aller vérifier que les bâtiments en ruine tiennent toujours, et c’est le cas !

Au fait, quand je vous dis que Nakano, c’est ZE place to be, c’est parce qu’en fait…

C’EST LE POINT G DU JAPON !
Alors, convaincus ?!
Bon alors, on passe à la suite.

Voilà la devanture de notre lieux de perdition.
Naoki (le barman) nous acceuille toujours aussi chaleureusement, et nous fait gouter comme à son habitude les petites productions japonaises qui valent le détour.

Après avoir étanché notre soif de culture (et d’alcool – on fait quand même attention car ça peut vite dégénérer cette histoire) nous prenons un cliché avec notre hôte si sympathique à qui nous referons probablement visite…

…et allons manger.

C’est tout pour aujourd’hui…
Ha non, en chemin, j’ai croisé ça…

…et je me demande si ça a un rapport avec Toy Story !
Le 15 mai 2013 à 6:29